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5 mars 2018 1 05 /03 /mars /2018 15:02

CSE du lundi 5 mars 2018

Déclaration liminaire de la FCPE

 

Monsieur le Ministre, Madame la Présidente,

Mesdames, Messieurs les membres du CSE,

Nous sommes appelés aujourd’hui à nous prononcer sur le projet de décret cadrant la procédure parcours sup’… déjà mise en application. En termes de démocratie et de dialogue social, on a fait mieux. Les acteurs concernés par la réforme ne sont pas impliqués dans sa construction, c’est inacceptable. L’école de la confiance n’est décidément que de la poudre de perlimpinpin.

La nouvelle procédure d’affectation dans l’enseignement supérieur devait dépasser les problèmes mis en lumière par APB mais pour la FCPE, c’est raté ! D’une part, elle ne garantit pas aux élèves qu’ils pourront aller dans la filière universitaire de leur choix. Le débat consistant à savoir si le tri des dossiers est mieux que le tirage au sort ne sert qu’à noyer le poisson : cela reste de la sélection.

D’autre part, des dérives dans la mise en œuvre de la nouvelle procédure sont déjà apparues comme des attendus locaux qui renforcent la sélection, parfois des conseils de classe qui découragent les élèves plus qu’ils ne les aident à construire leurs parcours ou des dispositifs d’accompagnement pédagogique qui ne voient pas le jour dans certaines universités.  

Le problème vient du manque de places dans l’enseignement supérieur  et du manque d’accompagnement des élèves dans la construction de leur parcours d’orientation. Nouvelle procédure ou pas, le stress des parents et des élèves n’a pas diminué et l’orientation subie sera encore très forte à la rentrée 2018. C’est pourtant un des leviers pour lutter contre l’échec. Comme la FCPE n’a cessé de le dénoncer, c’est l’avenir de la jeunesse que l’on sacrifie par manque d’engagement financier des gouvernements successifs et par le choix du tri social.

C’est pour ces raisons que la FCPE se mobilise aux côtés des organisations lycéennes et étudiantes. Elle sera présente à leurs côtés le 15 mars. Et qu’elle accompagne les parents sur le terrain pour qu’aucun jeune ne se retrouve sur le bord de la route.

Dans le décret qui nous est présenté aujourd’hui se trouve une nouvelle disposition ajoutée par les législateurs dans la loi ORE : la prise en compte des perspectives d’insertion professionnelle des formations pour fixer leur capacité d’accueil. Pour la FCPE, c’est avant tout une mesure adéquationniste qui marque un recul pour les jeunes.

Cela va à rebours des enjeux du service public d’éducation, dont le rôle est de donner aux jeunes des clés larges et variées pour s’épanouir dans un monde professionnel en constante évolution. Aujourd’hui, on ne se forme plus que pour un seul métier et inversement, de nombreux postes sont accessibles à des personnes issues de différents cursus.

De plus, cette logique réduira le nombre de places dans certaines filières qui semblent présenter peu de débouchés. Quid alors des filières ne menant pas directement à un métier spécifique mais qui pour autant participent grandement à la formation personnelle, professionnelle et citoyenne ? C’est alors l’orientation choisie qui est mise à mal.

La FCPE le rappelle depuis le début des débats sur cette réforme, l’enjeu est de permettre à chaque jeune de choisir et de construire son avenir. La loi ORE et ses décrets d’application ne répondent pas à cet objectif !

Merci pour votre écoute.

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5 mars 2018 1 05 /03 /mars /2018 07:42

un « neuroscientifique » à la tête du Conseil scientifique de l’Education nationale : c’est l’enterrement de leurs pratiques, qui deviendraient inutiles si tout était génétique et neurodéveloppemental. 

Signez et faites signer la pétition afin que nous soyons nombreux à réclamer un remaniement du Conseil scientifique et le remplacement de son président :

https://www.change.org/p/12987665/u/22432095?utm_medium=email&utm_source=petition_update&utm_campaign=264332&sfmc_tk=LJIpKHIYT9FbHyMIllt9wyrwkvay2hBOMaj8OMJENsFBot7F6De89YMfnrmRMAXd&j=264332&sfmc_sub=145597315&l=32_HTML&u=47982130&mid=7259882&jb=1

Aussi, à lire :

http://www.lemonde.fr/sciences/article/2018/02/19/les-sciences-cognitives-a-l-epreuve-de-la-classe_5259354_1650684.html

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9 février 2018 5 09 /02 /février /2018 08:17

L'accès au futur collège depuis le centre de l'Isle-Jourdain se fera par la Route de Rozès. 

Un aménagement y est donc en cours. Voici une vue d'ensemble :

https://drive.google.com/file/d/1MjS0_7QID4orhUkQ32BLSWmxa_M7w6Ce/view?usp=sharing

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1 février 2018 4 01 /02 /février /2018 06:48

D'une durée de 3 à 5 jours, le stage en entreprise est obligatoire en classe de 3e. Selon le choix de leur collège, les élèves doivent l’effectuer entre décembre et février. Souvent perçu par l’élève et sa famille comme un premier parcours du combattant, il est pourtant l’occasion de se confronter pour la première fois aux réalités d’un métier qui fait envie sur le papier. Guillaume Perennes, de l’association Viens voir mon taf, donne quelques astuces pour mettre toutes les chances de son côté.

Pour trouver son stage de 3e, la première démarche est-elle de solliciter son réseau ?
Oui, bien sûr ! Ce sera toujours la solution la plus efficace : faire appel à son réseau, ses parents, les amis de ses parents, les professeurs, les animateurs que l’on connaît… C’est l’étape numéro 1. Si c’est sans succès, il faut ensuite déterminer ce que l’on a envie de découvrir comme métier, aller sur Internet et chercher des contacts. Si on veut faire son stage dans un garage, on cible ceux aux alentours et on les appelle. Voire on s’y rend pour déposer son curriculum vitae et sa lettre de motivation. Souvent, les jeunes y accordent peu d’attention, mais c’est souvent elle qui est déterminante. L’important est de donner envie à la personne qui la reçoit de leur accorder un premier entretien. Autre conseil : se préparer à essuyer un refus. Pas facile pour le collégien, mais il faut l’aider à surmonter un « non » et lui répéter qu’il suffit d’un seul « oui » !

Pas facile non plus de rédiger son CV à 14-15 ans… Que peuvent-ils mettre en valeur ?
Les élèves rédigent leur CV comme les adultes. Le cursus scolaire est à détailler : le nom de leur collège, les options qu’ils suivent. Mais ils peuvent aussi noter des éléments extrascolaires, comme une passion. S’ils jouent beaucoup à des jeux vidéo et qu’ils ont des notions de code, ils le valorisent. S’ils produisent des vidéos, ils peuvent mettre le lien de leur chaîne youtube et l’employeur pourra aller la visionner. S’ils dessinent, il est tout à fait possible de joindre son book. Chaque jeune a des qualités à valoriser.

Comment expliquez-vous cette difficulté pour les adolescents à mener à bien cette première séquence de découverte professionnelle ?
Ils s’autocensurent beaucoup. Ils considèrent que ce n’est pas pour eux, c’est trop beau ou trop dur, trop loin aussi. La mobilité géographique est souvent un premier frein dans leur recherche. La question du genre est une deuxième raison. Beaucoup de filles s’orientent automatiquement vers les carrières sanitaires et sociales. Ce serait bien que les parents, les professeurs déconstruisent les préjugés : « Ce n’est pas parce que tu es une fille qu’il y a une voie qui est destinée pour toi ». La clé, c’est d’oser, je crois. Ce n’est que le stage de 3e, il n’y pas un enjeu majeur. C’est peut-être le seul moment de leur vie où ils pourront approcher facilement des milieux qui les intéressent. Ils doivent aussi garder en tête que beaucoup de professionnels aiment recevoir des élèves de 3e. C’est intéressant, mobilisant, dynamisant.
Et souvent, quand une structure est sollicitée, elle répond oui. Et il ne faut pas hésiter à explorer des voies méconnues. Exemple : les magasins de sport reçoivent des centaines de candidatures de stages, alors que des laboratoires du CNRS et d’université en reçoivent très peu. Un élève de 3e, un peu débrouillard et qui prend son courage à deux mains, peut trouver sur le site des universités le mail d’un responsable de laboratoire pour poser quelques questions. En général, les gens répondent. Ils savent que ce n’est pas très long, ni très lourd et que ça peut aider.
Enfin, il existe énormément de ressources mises à la disposition des élèves et ils en profitent très peu. Dans tous les collèges, le documentaliste est là pour les accompagner et les guider.

Une dernière recommandation pour que le stage soit une vraie plus-value ?
Ne pas attendre de s’ennuyer pour discuter avec son tuteur ou sa tutrice. Si aucune tâche intéressante ne lui est confiée, il peut être proactif. Chez un architecte, proposer d’étudier une maquette ou chez un éditeur, tester des livres. L’élève de 3e peut aussi être une ressource. Tout le monde sait qu’ils sont en 3e et qu’ils ne savent pas. S’ils font des erreurs, elles leur seront utiles par la suite.

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31 janvier 2018 3 31 /01 /janvier /2018 20:48

Communiqué de presse 30 janvier 2018

Non à la sélection : les parents d’élèves seront aux cotés des lycéens et des étudiants le 1er février.

La FCPE refuse que des élèves soient laissés sur le bord de la route et d’autres, entrer dans une filière par défaut.

C’est pourquoi elle appelle les parents d’élèves à se joindre aux mobilisations du 1er février, partout en France, aux côtés des lycéens et étudiants, inquiets pour leur avenir. Lors de la présentation de Parcours Sup auprès des membres de la communauté éducative, la FCPE avait insisté sur les lignes rouges à ne pas franchir. L’accès à l’enseignement supérieur devait être garanti à chaque étudiant, dans la filière de son choix. Le baccalauréat doit rester la seule porte d’entrée. Plutôt que d’accorder aux universités les moyens nécessaires à l’accueil de tous les étudiants, plutôt que de mettre en œuvre des mesures innovantes pour accompagner chaque lycéen dans la construction d’un projet d’orientation qu’il s’est choisi, le gouvernement a préféré instaurer la sélection dans les filières dites « en tension ». Le mot « prérequis » a été évincé du discours politique, pour éviter la polémique. Mais les « attendus » n’ont pas davantage réussi à masquer les conséquences de ce nouveau dispositif : les critères d’admission à l’université seront inégalitaires. Parcours Sup devait améliorer la procédure Admission post bac.

C’est raté !

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31 janvier 2018 3 31 /01 /janvier /2018 20:40
NEUROSCIENTISME ET PEDAGOGIE, UN COUPLE DANGEREUX !

Le Collectif des 39 souhaite réagir à la création à l’Education nationale du nouveau Conseil scientifique par le Ministre J.M. Blanquer, avec à sa tête le Professeur Stanislas Dehaene, spécialiste de psychologie cognitive, et médiatique promoteur des neurosciences.

Ce Conseil scientifique est d’une seule couleur théorique, uniforme et donc réductrice. Blanquer et Dehaene veulent imposer dans l’enseignement une nouvelle pédagogie « fondée sur les preuves » statistiques, à l’image de ce qui se pratique en médecine (Evidence Based Medecine), et que depuis de nombreuses années nos gouvernements successifs tentent d’imposer à la psychiatrie… Pourtant, les résultats de la science statistique peuvent-ils vraiment être directement appliqués, sans recul, ni possibilité de remise en question ? On sait que le moteur de toute(s) science(s) est la capacité de (re)mise en question, de doute fondamental et méthodologique, et que les « bons » résultats d’aujourd’hui constituent parfois les erreurs du lendemain…

 La diversité  – qui fonde la richesse – de nos expériences nous permet d’alerter sur ce défaut de pluralisme. Pluralisme qui devrait toujours présider à la conception d’une instance éducative, qu’elle soit, ou non, issue des recherches dites « scientifiques ». L’appauvrissement des points de vues augmente nécessairement les risques – que nous avons déjà vu se réaliser en psychiatrie par l’intermédiaire de la Haute Autorité de Santé – tels le lobbying et les conflits d’intérêts, en lien avec la commercialisation des dites « bonnes méthodes »…

Nous avons déjà dénoncé* combien cette « HAS » est un outil dévastateur du soin en psychiatrie et combien les liens de subordination entre administration et pratique clinique sont toxiques tant pour les soignés que pour les soignants ! Quant à la connivence entre science et politique, l’histoire nous a appris qu’elle est fondamentalement dangereuse, et que sa légitimité doit être sans cesse questionnée.

Enfin, ce rétrécissement conceptuel favorise l’expansion des diagnostics de « handicap » et la stigmatisation de toutes les formes de développement ou d’apprentissage des « vrais enfants » qui échappent aux normes des « enfants statistiques » utilisées par l’ « evidence based education » (EBE) ou « evidence based medecine » (EBM).

 Comme cela est souvent le cas, c’est en se parant de « neutralité scientifique » ou d’« apolitisme théorique» qu’un mouvement, ici les neurosciences cognitives, déploie un projet précisément politique. Celles-ci se sont implantées dans les instances du pouvoir, et ont réussi à le prendre, en excluant, et/ou en laissant apparaître comme « mineure », toute autre approche que la leur, aussi bien en ce qui concerne la pertinence « théorique » que « pratique ».

 Traiter de la rapidité du déchiffrage dans la lecture pour conclure que les sciences cognitives indiquent la bonne méthode sans prendre en compte les éléments du contexte socio-culturel des enfants et les expertises pédagogiques des enseignants, c’est nier non seulement toute dimension plurielle, mais c’est aussi nier la complexité de cet apprentissage, c’est nier la réalité de la vie.

 Dire que l’importance de « l’imaginaire » dans le développement de l’enfant n’est pas avérée simplement parce qu’il n’est pas un champ exploré par les sciences cognitives (manque de données statistiques), c’est évacuer d’emblée une des dimensions essentielle de l’être humain : la rêverie, la création, l’inconscient…

 Voulons-nous d’une école ECOLE-IRM, où les différences culturelles et sociales, tout comme le psychisme et l’inconscient, ou l’imaginaire et la singularité, s’effacent et disparaissent derrière l’hypothétique robot d’un cerveau machine ?

La déshumanisation statistique préparerait-elle les patients de demain ?

*Meetings des 39 du 1er novembre 2014, et du 16 octobre 2016

 

Communiqué du SNUipp:                                                                                   https://www.snuipp.fr/actualites/posts/conseil-scientifique-imposer-des-pratiques

Appel du SNUipp ici :

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30 janvier 2018 2 30 /01 /janvier /2018 07:50

Chers parents,

Nous vous remercions pour vos nombreuses réponses au questionnaire qui vous a été transmis à la rentrée de janvier, concernant le principe de répartition des élèves de primaire et de collège sur le secteur de l'Isle Jourdain.

Forts de vos réponses, nous avons rencontré le comité de pilotage du 22ième collège (CD32) le lundi 15 janvier dernier. 

Cette réunion a eu pour ambition de présenter vos interrogations, et a permis d'ouvrir les portes à une très prochaine rencontre à l'initiative de ce comité. Ceux-ci se sont montrés très ouverts à nos requêtes, tant sur le principe d'affectation présenté que sur les problématiques de transport et de circulation.

Le questionnaire nous a permis de montrer à quel point l'ouverture du nouveau collège ne vous laisse pas indifférents !

Pour, contre ou indifférent, la répartition par proximité géographique entre lieu d'habitat et collège fait force de cohérence dans vos réponses.

Nous mettons à votre disposition :

  • la présentation par le Comité de Pilotage lors de la 1ère réunion au CD32 en novembre dernier :

https://drive.google.com/open?id=1iwzAwBhtkCDwBD-NF9AwMm-PJ2IbCn9N

  • le compte rendu élaboré par le CD32 : 

https://drive.google.com/open?id=19Qeml_KPs4UbBYYr9SPhEpbu-VifHybE

  • la synthèse des réponses au questionnaire :

https://drive.google.com/open?id=1J-JetEYwoiZVEDZvT2xodCBw_hwTwhGK

 

Ainsi nous souhaitons vous tenir informés régulièrement de l'avancée des réunions via la mise en place d'une newsletter.

Pour cela il suffit de vous abonner aux 2 blogs :

http://fcpe-lislejourdain.over-blog.com/   (sur la colonne de droite de la page / Newsletter)

http://fcpeislejourdain.com/(site internet des écoles maternelle, primaire de la FCPE / l'Isle-Jourdain)

 

L'élaboration du projet de répartition des élèves est basé sur les principes suivants : 

- Mixité sociale

- Priorité éducative

- Équilibre des effectifs entre les deux établissements

Le comité de pilotage nous certifie avoir pris appui sur d'autres académies pour étudier au mieux ce projet.

Des points d'éclaircissement nous ont été apportés concernant la proposition déjà présentée, le principe d'affectation se fera :

-  prioritairement par commune de résidence pour les parents habitant à l'extérieur de l'Isle-Jourdain mais dont les enfants sont scolarisés sur une école du centre ville (transport scolaire oblige)

- le regroupement des fratries fera partie des motifs prioritaires des demandes de dérogations

- toutes les options ne pourront malheureusement être ouvertes dans les deux collèges.

Lors de la prochaine réunion, le CD32 doit nous présenter un projet de répartition par adressage, mais aussi la possibilité de mettre en place des navettes entre les deux établissements afin de faciliter les déplacements de tous dans la commune centre. 

Merci de votre attention ; nous vous invitons a vous inscrire à notre newsletter !

A très bientôt !

 

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27 janvier 2018 6 27 /01 /janvier /2018 00:39
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21 janvier 2018 7 21 /01 /janvier /2018 10:48

 

Une initiative heureuse!  

Quelle école ? : un plateau télé en public et en direct sur Internet

La prochaine émission citoyenne de Parlem TV est mardi 23 janvier à 20h30, salle d’animation de Nogaro. Une réflexion sur l'école.

L’entrée est libre et gratuite. Elle sera diffusée en direct sur Internet.

Pour alimenter cette réflexion :
- Stéphane Granier (prof des écoles), concernant son expérience en classe rurale à 3 niveaux ;
- Cyriaque Pessard (Directeur d’école), pour son expérience en pédagogie alternative (Montessory, 3ème type) ;
- Maryse Brumont (Professeure agrégée, IUFM de Tarbes et Auch, auteure
de livres publiés au réseau ’Canopé’), interviendra sur la pédagogie et la formation des enseignants.
Un large temps de parole sera consacré aux échanges avec le public.

Pour celles et ceux qui ne pourront pas être avec nous, nous indiquerons sur cette page de notre site (l'affiche est également téléchargeable à la même adresse) où et comment voir cette émission :
http://parlemtv.fr/?Quelle-ecole-plateau-tele-en-public-de-Parlem-TV  (Chaîne Youtube de Parlem TV, https://www.facebook.com/parlemtv/ ...

 Avec l'aide de :
                            

 

 

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21 janvier 2018 7 21 /01 /janvier /2018 09:42

Bonjour à tous,

La concertation autour de la répartition des élèves dans les deux collèges lislois a commencé. 

En effet lundi 15 janvier 2018, le département du Gers (CD32) a reçu une délégation de 5 représentants des élèves.

Son compte-rendu sera publié cette semaine sur ce blog dès que nous l'aurons reçu du CD32.

C'est par ce moyen de communication que nous pourrons vous tenir informés de l'état d'avancement de cette concertation ouverte.

De prochaines nouvelles rapidement!

Les conseils locaux FCPE de l'Isle-Jourdain et de ses alentours.

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